A lire sur Marianne : "La décroissance globale ne veut pas dire un retour en arrière. Mais plutôt comme un accroissement de civilisation. Un moindre gaspillage. Un raffinement au lieu d'un raffinage... (ok). Un pays moins consommateur mais plus habile pour aller vers notre rêve commun : un maximum de bonheur avec un minimum d'énergie. "

Comme l'auteur, Laurent Laurent, je suis de plus en plus convaincu que l'avenir de la planete passe par cette décroissance. Alros soit on attend qu'elle s'impose (comme aujourd'hui avec la crise, énergétiqe, financière pet tout ce qui va en découler), et les inégalités vont encore se creuser, soit on l'accompagne en en profitant pour les réduire.

Allez donc lire L'utopie de la croissance infinie, et on en recause.

Image de Benjamin Mercadier sous licence CC